Jean-Paul Zeitline en direct de Sud Radio

Jean Paul ZEITLINE, Progressium

Jean-Paul Zeitline, associé fondateur de Progressium, était en direct de la matinale de Sud Radio, dans la chronique « Made in France ». Interviewé par Pierre-Maël Tisnès, il présente l’activité de l’agence et l’accompagnement proposé aux personnes souhaitant devenir franchisé.

Écouter l’interview :

Pierre-Maël Tisnès : On découvre ensemble ce matin Progressium, en compagnie de l’un de ses fondateurs, Jean-Paul Zeitline, bonjour !

Jean-Paul Zeitline : Bonjour.

P-M T. : Merci d’être avec nous sur Sud Radio. Vous nous parlez en toute « franchise », Jean-Paul. La franchise, c’est l’activité principale de Progressium. Expliquez à nos auditeurs de quoi il retourne.

J-P Z. : Progressium, c’est un cabinet qui a été créé il y a une quinzaine d’années et qui est spécialisé dans l’accompagnement des réseaux de franchise et leur développement. On a sur le territoire une vingtaine de spécialistes des métiers de la franchise qui accompagnent les réseaux de franchise – les franchiseurs et les franchisés – pour développer leur activité. Et ceci dans tous les métiers de la franchise, c’est-à-dire le commerce, le service, la restauration, l’alimentation, le textile, etc.

P-M T. : Et vous ciblez – puisque c’est « Made in France » – des marques françaises, des commerces français dans cet accompagnement de franchises ?

J-P Z. : En fait, on n’a pas besoin de cibler parce que la franchise, c’est 90% d’enseignes françaises en France. Ce sont les commerces traditionnels, donc on est bien dans le développement de l’activité franco-française.

P-M T. : Comment ça se passe si nos auditrices, nos auditeurs qui vous écoutent veulent se lancer dans cette activité ? Comment font-ils s’ils veulent passer par Progressium ? Qu’est-ce que vous leur proposez ?

J-P Z. : Ce que l’on propose aux franchisés, c’est d’abord un bilan personnel. Est-ce qu’ils ont vraiment envie de devenir entrepreneurs parce que devenir franchisé, c’est devenir entrepreneur. Mais devenir entrepreneur dans un cadre plus sécurisé puisque qu’il y a un franchiseur dont nous avons validé le concept et la rentabilité du modèle chez Progressium. On veut être certain que les franchisés vont gagner de l’argent. Chez Progressium, on accompagne les candidats et on choisit avec eux la franchise qui leur correspond le mieux : à la fois au niveau de leurs compétences techniques, de leurs apports financiers, des villes sur lesquelles ils veulent s’implanter, etc. Une fois qu’on a fait ce bilan, on rencontre des franchiseurs et on essaie de faire un mariage entre le franchisé et le franchiseur. Ce sont de belles histoires en fait.

P-M T. : C’est beaucoup plus pratique pour les personnes qui veulent se lancer dans ce type d’entreprise de savoir qu’ils peuvent être orientés vers ce qui leur correspond le mieux.